Ecrit le 26 janvier 2011
Pierre Le Feuvre, canton du Grand-Fougeray
né en 1948, de père ouvrier mineur et de mère journalière agricole, Pierre Le Feuvre demeure à St Sulpice des Landes. Après l’école communale de cette commune, il suit un apprentissage en mécanique générale à l’école professionnelle de l’Arsenal de Rennes. Plus tard il reprendra des études supérieures. Il est aujourd’hui titulaire d’un DUT carrières sociales, d’une maîtrise scientifique et technique en aménagement et d’un Master professionnel en Histoire et Sociologie.
d’abord ouvrier en usine et dans le bâtiment puis électricien industriel qualifié en chantiers, il reprend ses études en 1974 et devient directeur d’équipements sociaux et culturels à Évreux, Grenoble, Beauvais, Rennes, St-Herblain et Châteaulin. Avec la création du chantier d’insertion sociale aux Mines de la Brutz en 1996, il dirige le projet de réhabilitation du site minier. Il accompagne alors 14 salariés en insertion sociale et professionnelle jusqu’à son départ en retraite fin 2007.
Des activités extra-professionnelles ?
De nombreuses activités associatives, membre du bureau de la Société géologique et Minéralogique de Bretagne, il préside maintenant l’association des Mines de la Brutz avec pour ambition la réhabilitation du site minier en un lieu culturel et touristique, dans le cadre d’un projet européen sur la valorisation du patrimoine industriel minier de l’Espace-Atlantique.
Il est membre du Conseil de développement du Pays des Vallons de Vilaine, et s’intéresse notamment à l’histoire industrielle des Pays de Châteaubriant et de Redon.
Ses combats citoyens
La justice, le droit à l’éducation, à la formation et à la culture pour tous, la solidarité, la fraternité, l’humanisme, la participation collective aux choix et aux décisions quel que soit le niveau des participants. Il œuvre pour l’éducation populaire, la culture pour tous selon ses capacités, ses aptitudes et ses moyens et pour la formation tout au long de la vie.
Par ses nombreuses activités, Pierre Le Feuvre a prouvé son engagement dans l’aménagement et le développement durable du territoire. Il a une bonne connaissance de la réglementation administrative : schémas de cohérence territoriale (SCOT ), Plans Locaux d’Urbanisme, cartes communales, schémas de déplacements urbains et ruraux, déclarations d’Utilité publique, études d’impact,..... Les politiques énergétiques en Bretagne ne lui sont pas étrangères.
" Ayant eu l’occasion de travailler avec les services départementaux, avec des élus de tout bord et même si je ne suis adhérent d’aucun parti politique ; je me reconnais plus dans la majorité départe-
mentale actuelle car les idées et les actions mises en œuvre sont en adéquation avec mes valeurs culturelles ; Je crois à l’honnêteté, à l’intégrité ; je ne suis intéressé ni par la carrière politique ni par la multiplication ou le cumul des mandats ".
Gauche
« Un conseiller général doit connaître les citoyens qu’il représente et agir au sein de l’assemblée pour tous en n’oubliant pas de qui il est le mandataire. Cela suppose qu’il est ancré dans le canton, capable de rendre compte de son action au Conseil Général par des rencontres régulières au-delà des simples permanences » dit Pierre Lefeuvre en ajoutant :
Elire un conseiller général soutenu par la majorité départementale (partis socialiste et radical de gauche), c’est donner plus de force au canton, c’est rendre service à la population, c’est s’opposer à la politique de casse des valeurs sociales et culturelles, c’est dire non à la destruction des Services publics et de l’emploi menée par le Gouvernement et la majorité présidentielle de Nicolas Sarkozy « . » Élire un conseiller général de gauche, c’est s’emparer des préoccupations quotidiennes des citoyens, de la petite enfance aux personnes âgées, en harmonisant le territoire avec des services de proximité redynamisés, des moyens de transport en commun plus nombreux, des soutiens et des moyens pour la formation des jeunes et des adultes et leur accompagnement vers des emplois qualifiés.
c’est aussi, avec la population dans son ensemble, réfléchir et décider de quelle collectivité territoriale nous voulons pour l’avenir.« » Je suis candidat parce que je suis un homme actif, ouvert et à l’écoute des autres, respectueux des idées et des cultures, capable d’organiser et de décider en défendant les valeurs humanistes de tolérance et de solidarité ".
Suppléante : Annie DEPROUW, 58 ans, habitant le Grand-Fougeray depuis trente ans. De formation universitaire, assistante familiale depuis 1998 après avoir été professeure pendant 22 ans, elle est aussi investie dans l’activité bénévole : présidente de l’association parents d’élèves puis déléguée départementale de l’Éducation Nationale. Candidate aux municipales du Grand-Fougeray en 2001 et 2008