Ecrit le 7 novembre 2007
Comment l’éclatomètre participe-t-il à la politique de défense ?
réponse
Le Canard Enchaîné du 31 octobre 2007 reproduit un courrier du Service de santé des Armées (Ministère de la défense) qui projette de passer un marché « pour la mise en conformité d’un éclatomètre à préservatifs en service à la Pharmacie centrale des armées » . Il s’agit sans doute de tester les capotes et de choisir celles qui sont les plus solides. On s’éclate chez les militaires ! On ne savait pas que les dits-objets faisaient partie de l’équipement de base du troufion, à moins qu’ils ne soient réservés aux unités spéciales ?
Ecrit le 14 novembre 2007
Comment peut-il être dangereux d’enfiler des perles ?
réponse
Des petites billes de toutes les couleurs, qu’on peut assembler pour dessiner des fraises, une caneton, un chien ou un avion ... c’est Aquaperl, vendu en France. Mais des enfants ont eu la mauvaise idée de porter ces billes à la bouche, comme le font tous les enfants. On a découvert alors que le produit chimique qui les enrobe se transforme en une substance GHB connue sous le nom de « drogue du viol ». Plusieurs enfants ont déjà été hospitalisés aux Etats-Unis et en Australie : problèmes respiratoires, une confusion mentale, des pertes de conscience ....
Ecrit le 21 novembre 2007
Quel est le prix d’un baiser ?
réponse
Une toile blanche, un baiser féminin, une trace de rouge à lèvres, l’abomination de la désolation ! La femme a été condamnée, par le tribunal correctionnel d’Avignon, à une peine de 100 heures d’intérêt général, et à verser 1.000 euros de dommages et intérêts au propriétaire de la toile, et un euro symbolique au peintre. Le vice-procureur du tribunal a qualifié ce baiser de cannibalisme et de parasitisme. Le propriétaire de l’œuvre, réclamait deux millions d’euros de dédommagements et 33 000 € pour la restauration de l’œuvre.... Rien que cela !
Ecrit le 28 novembre 2007
Comment peut-on laisser son nom dans l’Histoire ?
réponse
Naguère on donnait un nom aux rues, aux bâtiments, aux stades, pour perpétuer le souvenir d’une persopnne ou d’un événement. Les choses seraient-elles en train de changer ? La ville du Mans a vendu le nom de son stade au plus offrant, à celui qui serait prêt à payer un million d’euros par an ! Cette opération serait le premier « naming » de stade en France. Voyez comme c’est beau ! « Naming », du mot name qui veut dire NOM en anglais. Inutile donc de rêver à laisser son nom dans l’Histoire, par des actions notables (courageuses ou criminelles !), le fric remplace tout !
(Aux dernières nouvelles ce sont les Assurances MMA qui ont signé pour un million d’euros par an ! Le stade s’appellerait : MMArena ! )