Ecrit le 8 février 2012
C’est l’histoire d’un petit gars, pleurant et tapant du pied, qui s’en va se jeter dans les bras de sa nounou Angela.
– Nounou les vilains socialos ne veulent pas jouer avec moi ! (pleurs, pleurs, gros sanglots) Nounou, ils disent que je veux toutes les plus grosses billes, et que je veux les donner à ceux qui en ont déjà plein !
Nounou Angela entoure de ses bras protecteurs la tête du petit Nicolas,
– Mon petit poussin, ne pleure plus, je m’en vais les trouver ces socialos. Tu vas voir... je vais leur dire que c’est moi la plus forte et ils te les donneront les grosses billes ;
– (Sur un ton tout de miel et pleurnicheur). Ma nounou, ils disent que je leur laisse que les plus petites et qu’il n’y en a pas assez pour eux tous. (et en tapant des pieds) Hein... que c’est pas vrai !
– Mais non mon petit, mais non... c’est toi qui as raison, les grosses billes sont pour ceux qui ont déjà les plus grosses. Elles sont tellement grosses et lourdes que seuls ceux qui ont l’habitude de jouer avec, doivent continuer de les avoir.
– Et... (haussant l’épaule droite et clignant des yeux) dis nounou, les petites billes, c’est normal il faut les donner à ceux qui ont toujours l’habitude de jouer avec, aussi, Autrement c’est pas du jeu si on change les règles. (et le petit Nicolas, tout ragaillardi et bombant le torse) Hein.. nounou, tu viens, on va les trouver les socialos ?
– Oui mon petit oui ! je vais leur dire moi !! Les grosses c’est pour les gros et les petites c’est pour les petits, et il ne faut pas que ça change. Si non gare !! je vais leur enlever même les petites, et s’ils se plaignent tu vas voir... des coups de pieds au cul c’est ce qu’ils auront !!
Le petit Nicolas, tout gonflé de suffisance, ses petits poings en avant, mais tournant la tête en arrière pour s’assurer que sa nounou le suit bien, court, court droit sur les socialos sûr, de sa victoire. Sa nounou, qui a plus de mal à courir, est un tantinet inquiète et s’interroge. Ce petit va falloir qu’il se débrouille tout seul un jour, à toujours vouloir se mettre du côté des plus forts il va finir par recevoir une fessée. Les petits vont finir par devenir très nombreux. Il va falloir qu’il devienne plus courageux et pas toujours se mettre à l’abri des grands pour combattre les petits. Oh là là quel poltron et il veut me faire croire qu’il est courageux !!
(histoire écrite par une descendante de Communards qui ne veut pas que
l’histoire se répète).
Angela Merkel accompagnera le non-candidat dans sa campagne électorale ! Alors que le peuple français veut redevenir fier de sa nation, voilà une décision qui ravive la germanophobie. Ce dont l’Europe n’a pas besoin.
Mais comment un chef d’état allemand peut-il intervenir à ce point dans les affaires d’un autre pays. La droite française n’a rien trouvé de mieux que d’activer le réflexe « versaillais » pour combattre la gauche. Fera-t-elle comme en 1871, lorsque Thiers était allé chercher les troupes du Keiser pour combattre la commune de Paris ?
Un quinquennat commencé avec Guy Môquet fusillé par les allemands qui se termine par le branle (danse allemande) de Nicolas Sarkozy dans les bras d’Angela Merkel : cherchez la cohérence ? !
Pour service rendu à la Deushlandie de Madame Merkel, faudra-t-il rendre l’alsace et la Lorraine et parapher ce traité dans le wagon de Rethondes ?
références : Angela Merkel viendra soutenir Nicolas Sarkozy